• Tout détenu qui refuse la vaccination ne passera pas en audience
Le diclofénac et l’aspirine peuvent-ils guérir les effets consécutifs à la vaccination ? A la prison civile de Kpalimé, un prisonnier s’est retrouvé dans un état de quasi paralysie suite à la vaccination contre la Covid-19.
Il s’appelle Egah Yaovi Désiré. Détenu à la prison civile de Kpalimé, il avait, tout comme les autres détenus, reçu une dose de vaccination contre la Covid-19. C’était le 25 septembre 2021. Mais selon les informations, il a commencé dès le soir-là à développer des symptômes bizarres qu’il n’avait pas avant réception de sa dose de vaccin : chaleur dans le corps, douleurs intenses, et surtout les extrémités des membres supérieurs et inférieurs qui perdaient leur fonctionnement. Tant et si rapidement que le malheureux était dans l’incapacité de se déplacer.
Les responsables de la prison, l’infirmier et le docteur sont informés de la situation. Mais en guise de traitement, plutôt que de référer le détenu vers un centre de soins à la mesure des maux dont il souffre, on lui a seulement donné deux produits, du diclofénac et de l’aspirine. C’était le 11 octobre dernier.
Et bien qu’il se soit appliqué à prendre ces produits jusqu’à épuisement, aucune amélioration n’est constatée au niveau de sa santé qui était au top avant la vaccination.
A ce jour, le sieur Egah Yaovi Désiré est cloitré dans sa cellule, incapable de marcher. On apprend que les chaussures ne tiennent plus à ses pieds, parce que ses nerfs ne répondent plus. Tout comme sa respiration qui deviendrait plus pénible du fait de douleurs au niveau des poumons.
Les prisonniers étaient-ils consentants pour la vaccination ? « On nous a prévenus que ceux qui ne voudront pas se faire vacciner ne passeront pas en audience », nous confie une source. Une obligation déguisée sous forme de menace en somme.
Dans cette histoire de vaccination, nous apprenons également qu’un ancien commissaire de police ayant reçu la 2ème dose du vaccin Astra Zeneca a perdu la lucidité alors qu’il rentrait au volant de sa voiture. Il s’est retrouvé au pavillon militaire après être rentré au dedans d’un arbre.
Un ancien agent de la SNPT (Société nationale des phosphates du Togo), vacciné le 8 septembre 2021, a passé trois semaines avec une érection suivie de maux de bas ventre. Le mal se déclenchait chez lui à l’aube et à la nuit tombée. Les victimes anonymes de la vaccination sont plurielles, mais se prononcent très peu.
Que prévoit le gouvernement pour ces cas en général et pour cette victime en prison en particulier ? Sera-t-il abandonné à son triste sort, ou bien les autorités en charge de la lutte contre la pandémie feront-elles diligence pour lui faire recouvrer l’usage de ses membres ? Ainsi va la vaccination et ses effets secondaires.
Godson K.